26 janvier 2010
son hospitalisation
Ma douce est partie depuis quelques minutes. Quand je l’ai vue monter dans l’ambulance, j’ai cru que mon cœur allait défaillir. La maison est silencieuse, vide… même les chiennes ne semblent pas comprendre ce qu’il se passe (ou pourquoi je fais cette mauvaise tête…). Il va falloir meubler le temps, meubler l’espace… Il va falloir dompter les angoisses, et certainement le retour des cauchemars aussi…. Je me répète que tout va bien se passer, que ces quatre jours vont vite défiler. Pourtant, je suis comme enchainée à cette peur qu’un drame pourrait à nouveau survenir. Non non, il ne faut pas que j’y pense. Non non, il ne faut pas que je pleure encore...
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